J'ai appris il y a quelques jours, la mort de mon auteur préféré: Terry Pratchett.
Malade depuis plusieurs années d'Alzheimer, il avait suivi depuis quelques temps, un programme de suicide médicalement assisté.
Il était depuis que je suis jeune, une grande source de divertissements pour moi, via ses romans et les diverses adaptations de ceux-ci (jeux-vidéos, téléfilms, mini séries, ...) il avait réussi à créer un univers riche à la fois en fantaisie et absurde: le Disque monde.
Le Disque-Monde: Le Disque-monde est un monde plat et circulaire, complété par l’immense cataracte qui s’écoule de ses bords. Il est soutenu par les quatre éléphants, eux-mêmes juchés sur la carapace de la Grande A’Tuin, tortue gigantesque naviguant lentement dans le cosmos.
Le nombre 8 a une signification particulière pour le disque. Il y a huit couleurs dans le spectre solaire (la huitième étant l’octarine, couleur de la magie perceptible par les mages), huit jours dans une semaine discale (le huitième étant octedi). À cause d’arrangements astronomiques particuliers, il y a également huit saisons (et 800 jours) dans un an. Le plus puissant des livres de sortilèges est l'In-Octavo, qui contient les huit sortilèges fondamentaux.
Le 8e fils d'un 8e fils sera un mage. Il existe enfin un métal, l’Octefer, aux fortes propriétés magiques et un gaz, l’Octigène.
.
Sur le Disque-Monde on trouvera au fil des romans, des personnages plus attachants et drôles les uns que les autres:
Rincevent: mage raté, incapable de lancer le moindre sort mais dont un des sortilèges de l'In-Octavo est coincé dans la tête. (ses puissants sortilèges ont une volonté qui leur est propre)
La mort: La Mort est représenté (oui représenté la Mort est un mâle, un mâle nécessaire) par un squelette de deux mètres dix de haut vêtu d'une robe tissée de noir absolu. Deux lueurs bleues flamboient dans ses orbites. Il possède un cheval blanc (et vivant !) qu'il nomme Bigadin.
Il possède une voix caverneuse qui semble avoir la faculté de s'imprimer directement dans le cerveau sans passer par les oreilles. Remarque : la voix de la Mort (ou de son remplaçant du moment) s'écrit en petites capitales d'imprimerie.
Contrairement à une idée fausse qu'il est facile de se faire, la Mort n'est pas le méchant de l'histoire. D'ailleurs il ne tue pas, il se contente de détacher l'âme du corps une fois les choses mortes. Bien que comprendre le comportement d'un tel personnage soit difficile, la Mort semble fasciné par la vie et par les humains en particulier. Il ira jusqu'à remplacer le Père Porcher (équivalent du père noël sur le disque-monde)
Le Bibliothécaire: Il est apparu pour la première fois dans Le Huitième Sortilège, dans lequel il fut transformé en orang-outan par un effet de bord d'un puissant sortilège. Depuis, il est apparu dans la quasi-totalité des volumes, même si parfois son intervention ne représente que quelques lignes.
En découvrant que l'état d'orang-outan avait certains avantages pour un bibliothécaire, comme le fait de ne plus avoir besoin d'une échelle pour atteindre les étagères les plus hautes, il refusa d'être retransformé en humain. Depuis il est resté un orang-outan. Petit à petit, les autres mages se sont habitués à la situation.
Le Bibliothécaire est réputé avoir une réaction violente dès qu'il entend quelqu'un utiliser le mot « singe » pour désigner sa personne. En effet, un orang-outan est un hominidé, et donc assurément un anthropoïde. Il faut préciser que ce comportement est surtout explicable en anglais : dans la version originale, le Bibliothécaire se met en colère lorsqu'on le traite de « monkey », alors qu'en tant qu'orang-outan il est un « ape ». Ces deux mots désignent respectivement les petits singes (ou singes à queue) et les hominoïdés (ou anthropoïdes, incluant les « grands singes » ou hominidés), alors que le mot « singe » en français désigne les deux catégories réunies. La colère du Bibliothécaire est donc moins explicable.
Je pourrais également vous parler de Deuxfleurs (sorte de touriste du disque-monde), le Bagage (un coffre fait dans un bois magique, munis de plusieurs dizaines de jambes, d'une volonté propre et qui suit son porteur partout), Cohen le Barbare (sorte de Conan le barbare vieillissant), Albert (majordome de la mort), La mort aux rats (équivalent de la Mort pour les souris et rats), Mortimer (apprenti de la Mort), Suzanne (petite fille de la Mort), ... mais le mieux resterait encore que vous découvriez ces personnages par vous même à travers les différentes oeuvres de Sir Terry Pratchett:
Jeux vidéos:
Discworld
Discworld 2: mortellement vôtre
Discworld Noir
Téléfilms d'animation:
Trois Soeurcières (Wyrd Sisters) et Accros du Roc (Soul Music)
Téléfilms:
au nombre de trois, ils ont été produits par la chaine Sky One
Les contes du Disque-Monde (The Hogfather), qui reprends la trame du roman "Le Père Porcher".
Discworld (The Color of Magic), qui reprends les deux premiers romans "la huitième couleur" et "le huitième sortilège".
Timbrés (Going Postal), adapté du roman du même nom.
En parlant des romans, on pourrait les classer par catégorie:
Rincevent: l'histoire de Rincevent, mage raté et peureux. Sait crier « au secours » dans un nombre invraisemblable de langues.
Sorcières: l'histoire de Mémé Ciredutemps et Nounou Ogg, les sorcières du Royaume de Lancre.
La Mort: l'histoire de La Mort, de ses compagnons et de sa famille.
Le Guet: l'histoire de Samuel Vimaire, des forces du guet municipal d'Ankh-Morpork.
Les mages: L'histoire des mages de l'Université invisible
Moite von Lipwig: l'histoire d'un escroc notoire devenu le sauveur des institutions morporkiennes. (Ankh-Morpork est une des villes principales du disque-monde.)
Divers: lorsqu'aucun des cas précédents ne s'applique ou pas suffisamment
J'ai personnellement, un faible pour les histoires de la Mort, je trouve que c'est un personnage attachant et drôle malgré sa réputation macabre et son travail ingrat.
J'aime également beaucoup les histoires autour de Rincevent, un personnage totalement décalé qui se retrouve malgré lui dans des aventures abracadabrantesques.
Enfin, sur le Twitter de Terry Pratchett, on a pu voir cette mise en scène surprenante:
sources: Wikipedia principalement, et ma culture personnelle.
Malade depuis plusieurs années d'Alzheimer, il avait suivi depuis quelques temps, un programme de suicide médicalement assisté.
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Il était depuis que je suis jeune, une grande source de divertissements pour moi, via ses romans et les diverses adaptations de ceux-ci (jeux-vidéos, téléfilms, mini séries, ...) il avait réussi à créer un univers riche à la fois en fantaisie et absurde: le Disque monde.
Le Disque-Monde: Le Disque-monde est un monde plat et circulaire, complété par l’immense cataracte qui s’écoule de ses bords. Il est soutenu par les quatre éléphants, eux-mêmes juchés sur la carapace de la Grande A’Tuin, tortue gigantesque naviguant lentement dans le cosmos.
Le nombre 8 a une signification particulière pour le disque. Il y a huit couleurs dans le spectre solaire (la huitième étant l’octarine, couleur de la magie perceptible par les mages), huit jours dans une semaine discale (le huitième étant octedi). À cause d’arrangements astronomiques particuliers, il y a également huit saisons (et 800 jours) dans un an. Le plus puissant des livres de sortilèges est l'In-Octavo, qui contient les huit sortilèges fondamentaux.
Le 8e fils d'un 8e fils sera un mage. Il existe enfin un métal, l’Octefer, aux fortes propriétés magiques et un gaz, l’Octigène.
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Sur le Disque-Monde on trouvera au fil des romans, des personnages plus attachants et drôles les uns que les autres:
Rincevent: mage raté, incapable de lancer le moindre sort mais dont un des sortilèges de l'In-Octavo est coincé dans la tête. (ses puissants sortilèges ont une volonté qui leur est propre)
La mort: La Mort est représenté (oui représenté la Mort est un mâle, un mâle nécessaire) par un squelette de deux mètres dix de haut vêtu d'une robe tissée de noir absolu. Deux lueurs bleues flamboient dans ses orbites. Il possède un cheval blanc (et vivant !) qu'il nomme Bigadin.
Il possède une voix caverneuse qui semble avoir la faculté de s'imprimer directement dans le cerveau sans passer par les oreilles. Remarque : la voix de la Mort (ou de son remplaçant du moment) s'écrit en petites capitales d'imprimerie.
Contrairement à une idée fausse qu'il est facile de se faire, la Mort n'est pas le méchant de l'histoire. D'ailleurs il ne tue pas, il se contente de détacher l'âme du corps une fois les choses mortes. Bien que comprendre le comportement d'un tel personnage soit difficile, la Mort semble fasciné par la vie et par les humains en particulier. Il ira jusqu'à remplacer le Père Porcher (équivalent du père noël sur le disque-monde)
Le Bibliothécaire: Il est apparu pour la première fois dans Le Huitième Sortilège, dans lequel il fut transformé en orang-outan par un effet de bord d'un puissant sortilège. Depuis, il est apparu dans la quasi-totalité des volumes, même si parfois son intervention ne représente que quelques lignes.
En découvrant que l'état d'orang-outan avait certains avantages pour un bibliothécaire, comme le fait de ne plus avoir besoin d'une échelle pour atteindre les étagères les plus hautes, il refusa d'être retransformé en humain. Depuis il est resté un orang-outan. Petit à petit, les autres mages se sont habitués à la situation.
Le Bibliothécaire est réputé avoir une réaction violente dès qu'il entend quelqu'un utiliser le mot « singe » pour désigner sa personne. En effet, un orang-outan est un hominidé, et donc assurément un anthropoïde. Il faut préciser que ce comportement est surtout explicable en anglais : dans la version originale, le Bibliothécaire se met en colère lorsqu'on le traite de « monkey », alors qu'en tant qu'orang-outan il est un « ape ». Ces deux mots désignent respectivement les petits singes (ou singes à queue) et les hominoïdés (ou anthropoïdes, incluant les « grands singes » ou hominidés), alors que le mot « singe » en français désigne les deux catégories réunies. La colère du Bibliothécaire est donc moins explicable.
Je pourrais également vous parler de Deuxfleurs (sorte de touriste du disque-monde), le Bagage (un coffre fait dans un bois magique, munis de plusieurs dizaines de jambes, d'une volonté propre et qui suit son porteur partout), Cohen le Barbare (sorte de Conan le barbare vieillissant), Albert (majordome de la mort), La mort aux rats (équivalent de la Mort pour les souris et rats), Mortimer (apprenti de la Mort), Suzanne (petite fille de la Mort), ... mais le mieux resterait encore que vous découvriez ces personnages par vous même à travers les différentes oeuvres de Sir Terry Pratchett:
Jeux vidéos:
Discworld
Discworld 2: mortellement vôtre
Discworld Noir
Téléfilms d'animation:
Trois Soeurcières (Wyrd Sisters) et Accros du Roc (Soul Music)
Téléfilms:
au nombre de trois, ils ont été produits par la chaine Sky One
Les contes du Disque-Monde (The Hogfather), qui reprends la trame du roman "Le Père Porcher".
Discworld (The Color of Magic), qui reprends les deux premiers romans "la huitième couleur" et "le huitième sortilège".
Timbrés (Going Postal), adapté du roman du même nom.
En parlant des romans, on pourrait les classer par catégorie:
Rincevent: l'histoire de Rincevent, mage raté et peureux. Sait crier « au secours » dans un nombre invraisemblable de langues.
Sorcières: l'histoire de Mémé Ciredutemps et Nounou Ogg, les sorcières du Royaume de Lancre.
La Mort: l'histoire de La Mort, de ses compagnons et de sa famille.
Le Guet: l'histoire de Samuel Vimaire, des forces du guet municipal d'Ankh-Morpork.
Les mages: L'histoire des mages de l'Université invisible
Moite von Lipwig: l'histoire d'un escroc notoire devenu le sauveur des institutions morporkiennes. (Ankh-Morpork est une des villes principales du disque-monde.)
Divers: lorsqu'aucun des cas précédents ne s'applique ou pas suffisamment
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| Le plan de lecture des Romans, si jamais vous voulez commencer la lecture de la série, vous n'êtes pas forcés de commencer par le premier sorti. |
J'ai personnellement, un faible pour les histoires de la Mort, je trouve que c'est un personnage attachant et drôle malgré sa réputation macabre et son travail ingrat.
J'aime également beaucoup les histoires autour de Rincevent, un personnage totalement décalé qui se retrouve malgré lui dans des aventures abracadabrantesques.
Enfin, sur le Twitter de Terry Pratchett, on a pu voir cette mise en scène surprenante:
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"ENFIN, SIR TERRY, NOUS DEVONS MARCHER ENSEMBLES. Terry prit le bras de La Mort et le suivit à travers les portes et dans le désert noir à travers la nuit infinie. Fin. " Je vous laisserai sur ce passage tiré du téléfilm "Hogfather" ou La Mort nous offre une leçon de vie (Ironique non? :) ) |
Déjà tout p'tit j'aimais la technologie
C'est pas pour rien qu'à trois ans, je savais jouer avec l'ordi
J'suis presque né avec un clavier dans les mains
Pour lancer un jeu sous Ms-Dos, il fallait être malin
Puis on m'a offert la Game-Boy, une sacrée console
J'y jouais pas mal, mais pour autant, j'oubliais pas l'école
Quand j'étais gamin, j'adorais le samedi
J'étais tranquille, chez mamie, à regarder des séries
Code Lisa, le prince de bel air, flash, MacGyver
Pour rien au monde j'aurais voulu être ailleurs
Et puis j'ai vécu l'arrivée d'Internet
Ça y'a pas à dire, c'était vraiment chouette
J'ai pu jouer avec des gens de toutes régions
Même si pour le coup, je sortais moins de la maison
Aujourd'hui, dans la vie, j'ai plusieurs choses qui me bottent
La meilleure s'appelle "Clips-Claps", c'est hébergé sur Blogspot
Ça fait bientôt quatre ans et demi que j'ai commencé à poster
J'ai eu des hauts, des bas, des jours ou j'étais pas motivé
Il faut bien l'avouer, un article par jour c'était un vrai défi
Aujourd'hui j'ai toute une floppée d'articles et c'est pas encore fini
Il y en a pour tous les goûts, tout le monde peut s'y retrouver
Allez-y, n'hésitez pas, à votre bon cœur s'il vous plait
C'est pas pour rien qu'à trois ans, je savais jouer avec l'ordi
J'suis presque né avec un clavier dans les mains
Pour lancer un jeu sous Ms-Dos, il fallait être malin
Puis on m'a offert la Game-Boy, une sacrée console
J'y jouais pas mal, mais pour autant, j'oubliais pas l'école
Quand j'étais gamin, j'adorais le samedi
J'étais tranquille, chez mamie, à regarder des séries
Code Lisa, le prince de bel air, flash, MacGyver
Pour rien au monde j'aurais voulu être ailleurs
Et puis j'ai vécu l'arrivée d'Internet
Ça y'a pas à dire, c'était vraiment chouette
J'ai pu jouer avec des gens de toutes régions
Même si pour le coup, je sortais moins de la maison
Aujourd'hui, dans la vie, j'ai plusieurs choses qui me bottent
La meilleure s'appelle "Clips-Claps", c'est hébergé sur Blogspot
Ça fait bientôt quatre ans et demi que j'ai commencé à poster
J'ai eu des hauts, des bas, des jours ou j'étais pas motivé
Il faut bien l'avouer, un article par jour c'était un vrai défi
Aujourd'hui j'ai toute une floppée d'articles et c'est pas encore fini
Il y en a pour tous les goûts, tout le monde peut s'y retrouver
Allez-y, n'hésitez pas, à votre bon cœur s'il vous plait
Comment faire un tube dans les années 90: vous prenez un black (ou deux à la rigueur), une mélodie au synthé avec un son de basse saturé (un peu comme un vuvuzela mais entrecoupé) une boite à rythme (*Boom tchac boom*) une refrain hyper simple comme gimmick (phrase d'accroche qui va revenir souvent et vous coller à la tête) mélangez le tout... Et *PAF* ça a fait des chocapics ça fait un tube, la preuve en est, c'est un morceau qui a traversé les générations.
Un petit hommage à Leonard Nimoy décédé cette semaine, qui a été principalement connu pour son rôle de Mr Spock dans Star Trek.
